La liberté s'apprend, Naw Ja Gawlu avec Fanny Cheyrou : l'humain avant tout

🦊Une rencontre avec Naw Ja Gawlu au sein de la société et dictature birmane. Entre les violences commises à l’encontre des minorités qu’elles soient chrétiennes ou musulmanes par la communauté bouddhiste, montre qu’aucune religion n’est à l’abri d’exactions. 🦊 Fanny Cheyrou qui a retranscrit les pensées de Naw Ja Gawlu met en exergue le fait de relativiser la condition humaine. L’exemple le plus parlant pour l’étudiant que je fus, est celui du refus d’un professeur d’université de faire passer l’examen final à Naw Ja Gawlu pour une dette de deux euros de frais d’inscription. Ce genre d’exemple comme le salaire perçu de deux euros par mois qui arrive quand même à combler sa famille représentant trois sacs de riz. 🦊Certains mots peuvent parfois être plus frappants pour le cerveau humain que certaines images, pour se rendre compte de la différence incommensurable entre les différents pays qu’ils soient développés ou non. 🦊 Le récit n’étant jamais larmoyant on plonge directement dans la Birmanie avec une pinte de tristesse désemparée...
Un extrait merveilleux sur mon blog d’ici ce soir, une merveille de poésie !
Un immense merci aux @bayard_editions et surtout Clélia Sergent ❤️  

Editions Bayard, 280 pages, 2018

Note : 7/10

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