Succion, Yrsa Sigurdardottir : froideur intense
•FROIDEUR EN THRILLER•
🦊 « Les morts étaient morts et ils ne l’étaient pas moins quand on défilait devant leur tombe. Mais elle ne lui demandait jamais rien, alors il n’était pas question de dire non. Et puis il n’avait rien d’autre à faire. Enfin, pas plus que d’habitude. »•••
🦊Yrsa Sigurdardottir fait partie des plus grandes voix de la littérature scandinave. Un viol et un meurtre qui vont être étudiés douze ans après, grâce à une capsule dans laquelle une liste des futures victimes est découverte. Tout est imprévisible, tout est ficelé, et pensé bien en amont, on tombe dans chaque piège avec délice. Il est préférable de lire le premier roman ADN pour comprendre tous les tenants et aboutissants de ce second tome mais ce n’est pas une obligation absolue. Les personnages sont creusés dans cette enquête posée qui n’offre que peu d’action mais qui fait clairement réfléchir quant au déroulement de cette dernière•••
🦊 L’imagination de l’auteure est sans limite, le casse-tête est permanent, on peut difficilement s’arrêter d’enchainer les pages qui s’offrent à nous. Des affaires complexes aux issues mais également aux origines totalement folles. Le roman est totalement addictif, difficile de trouver des défauts à ce roman. C’est un thriller beaucoup plus réfléchi, les actions ne sont pas pléthore, mais le plan machiavélique est servi sur un plateau dès le début. Si vous êtes habitués aux polars scandinaves, nulle inquiétude, les noms sont toujours difficiles à assimiler mais cela devrait aller bien mieux pour vous ! Entre vengeance, pédophilie, pouvoir, crimes infâmes, révélations, le roman est un peu sombre et glauque mais cela est un plaisir absolu. Le twist final est totalement dingue, n’essayez même pas de chercher vous ne le trouverez pas•••
🦊 Éditions Actes Sud, mars 2019•••
🦊 Merci @bepolar.fr et @actessud 😍🙏🏻 @yrsasigurdardottir •••
🦊 « Les morts étaient morts et ils ne l’étaient pas moins quand on défilait devant leur tombe. Mais elle ne lui demandait jamais rien, alors il n’était pas question de dire non. Et puis il n’avait rien d’autre à faire. Enfin, pas plus que d’habitude. »•••
🦊Yrsa Sigurdardottir fait partie des plus grandes voix de la littérature scandinave. Un viol et un meurtre qui vont être étudiés douze ans après, grâce à une capsule dans laquelle une liste des futures victimes est découverte. Tout est imprévisible, tout est ficelé, et pensé bien en amont, on tombe dans chaque piège avec délice. Il est préférable de lire le premier roman ADN pour comprendre tous les tenants et aboutissants de ce second tome mais ce n’est pas une obligation absolue. Les personnages sont creusés dans cette enquête posée qui n’offre que peu d’action mais qui fait clairement réfléchir quant au déroulement de cette dernière•••
🦊 L’imagination de l’auteure est sans limite, le casse-tête est permanent, on peut difficilement s’arrêter d’enchainer les pages qui s’offrent à nous. Des affaires complexes aux issues mais également aux origines totalement folles. Le roman est totalement addictif, difficile de trouver des défauts à ce roman. C’est un thriller beaucoup plus réfléchi, les actions ne sont pas pléthore, mais le plan machiavélique est servi sur un plateau dès le début. Si vous êtes habitués aux polars scandinaves, nulle inquiétude, les noms sont toujours difficiles à assimiler mais cela devrait aller bien mieux pour vous ! Entre vengeance, pédophilie, pouvoir, crimes infâmes, révélations, le roman est un peu sombre et glauque mais cela est un plaisir absolu. Le twist final est totalement dingue, n’essayez même pas de chercher vous ne le trouverez pas•••
🦊 Éditions Actes Sud, mars 2019•••
🦊 Merci @bepolar.fr et @actessud 😍🙏🏻 @yrsasigurdardottir •••
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